Les autorités ont rapporté qu’au moins 10 individus, dont deux policiers, ont perdu la vie ce mardi 9 janvier. Suite à ces violences attribuées aux gangs de narcotrafiquants en Équateur, le président Daniel Noboa a décrété l’état de “conflit armé interne”. Selon un premier bilan annoncé mardi soir par la police, les troubles ont entraîné la mort d’au moins 10 personnes, dont deux membres des forces de l’ordre
La ville portuaire de Guayaquil, située dans le sud-ouest et considérée comme un bastion des gangs de narcotrafiquants, a enregistré huit décès et trois blessés, selon un responsable de la police locale lors d’une conférence de presse. Les rapports de la police sur le réseau social X ont également signalé que deux agents avaient été “vicieusement assassinés par des criminels armés” dans la ville voisine de Nobol.
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