Vers une fin d’année en demi-teinte

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Alors que la fin d’année arrive à grand pas, les préparatifs pour les fêtes qui l’accompagne sont au cœur de beaucoup de famille. Mais quand est-il exactement et comment appréhender ce moment qui célèbre la famille, un évènement qui se veut magique et une réalité qui nous rattrape au quotidien, l’inflation

Parlons d’abord des préparatifs qui se veulent avant tout chose gastronomique. De la dinde farcie en passant par le foie gras (chaud ou froid ) et de la non moins célèbre bûche, en plus de produits qui se font rares dans les rayons, on observe des hauses de prix très significatives. A titre d’exemple, en plus d’une production réduite à un tiers, due notamment à l’épizootie qui a touché toute l’Europe, et pas seulement la France, il faut compter environ 25% de hausse des prix. Autant dire que cela aura de quoi freiner les ardeurs.

Vers un budget restreint

Mais Noël ne serait pas Noël sans les immuables cadeaux qui viennent émerveiller les plus petits, sans que les plus grands y soient insensibles. Et là encore à chacun son budget face aux listes mainte et mainte fois réfléchie par nos enfants. Car pour eux l’inflation, fort heureusement, ne fait pas encore partie de leur langage. On est dans le plaisir instantané, la magie de l’emballage et des rubans qui scintillent au pied du sapin.

Alors pour que les fêtes de fin d’année restent un pure moment de plaisir, il faudra trouver le juste équilibre, être sans doute inventif pour pallier aux attentes de chacun et surtout se dire que Noël reste un moment magique et que , dans la mesure du possible, rien ne doit gâcher ces moments magiques.

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