Quelques heures avant le coup d’envoi du Mondial féminin de football, un tireur a ouvert le feu dans un bâtiment en construction du centre-ville de la métropole néo-zélandaise, jeudi. Trois personnes ont perdu la vie, et cinq autres ont été blessées lors de cet événement tragique.
Fusillade tragique à Auckland, jour d’ouverture de la Coupe du monde féminine de football en Nouvelle-Zélande
Jeudi 20 juillet, le centre-ville d’Auckland a été le théâtre d’une fusillade meurtrière, survenue à quelques heures du début du Mondial féminin de football. Un tireur a ouvert le feu dans un bâtiment en construction, entraînant la mort de trois personnes, dont l’agresseur, et blessant cinq autres.
Les événements se sont produits tôt le matin, vers 7h22 (heure locale), dans le quartier des affaires d’Auckland. Le tireur a fait feu à l’intérieur du bâtiment avant de se retrancher dans l’ascenseur, déclenchant une réponse rapide des forces de l’ordre qui ont tenté de le neutraliser. Malheureusement, lors de l’opération, un policier a également été blessé.
La police a rapidement bouclé la zone pour la sécurité du public et a identifié le tireur comme un homme de 24 ans, ayant un passé judiciaire, et travaillant sur le chantier. Les autorités ont lancé un appel à témoins pour aider à éclaircir les circonstances de cette tragédie.
La cérémonie d’ouverture du mondial féminin maintenue
Malgré cet acte choquant, le gouvernement néo-zélandais a décidé de maintenir l’horaire de la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde féminine de football à l’Eden Park, sans modifier le niveau de sécurité pour le reste du tournoi. Les forces de l’ordre ont cependant renforcé leur présence dans le centre d’Auckland pour assurer la sécurité des participants et du public.
Avant le coup d’envoi du match d’ouverture entre la Nouvelle-Zélande et la Norvège, une minute de silence a été observée en hommage aux victimes. Les joueuses et les fédérations de football présentes pour le tournoi ont exprimé leurs condoléances aux familles touchées par cette tragédie.
Bien que bouleversant, cet incident ne semble pas affecter directement la tenue du Mondial féminin de football, et les équipes ont exprimé leur confiance envers la FIFA pour l’organisation de l’événement en toute sécurité.
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