Nationalistes ukrainiens repoussés par les russes

La Russie affirme que des “saboteurs” ont infiltré son territoire. Et Kiev de démentir en ajoutant avoir exhumé 3 corps à Borondianka. Il s’agirait de trois civils tués en mars 2022

Les renseignements russes affirment avoir repoussé les “nationalistes ukrainiens” infiltrés sur leur territoire

Le service de renseignements russe, le FSB, à fait savoir dans l’après-midi qu’il a repoussé des “nationalistes ukrainiens” de son territoire. Ces faits ont été recueillis auprès d’agences de presse.

Des faits un peu similaires se sont produit plutôt dans la journée. Les autorités russes ont informé de l’incursion de “saboteurs” ukrainiens dans la région russe de Briansk, zone frontalière de l’Ukraine. Il semblerait que des coups de feu ont été perpétré contre des civils

“À la suite des mesures prises, on a mis fin à l’incursion des nationalistes ukrainiens”, a indiqué le FSB dans un communiqué, cité par les agences de presse russes. “L’ennemi a été repoussé vers le territoire ukrainien et visé là-bas par une frappe massive d’artillerie”, assure le communiqué.

Toujours selon le FSB, il semblerait qu’un “grand nombre d’explosif ” ait été découvert alors que des opérations de déminage sont toujours en cours.

“Nous ne nous laisserons pas faire”

Lors d’une allocution, le président russe Vladimir Poutine, à tenu à cité une “attaque terroriste” alors que Moscou ait déjoué une incursion de “saboteurs” ukrainiens à la limite de la frontière avec l’Ukraine, dans la région du Sud-Ouest. Ce que Kiev n’a pas tardé à démentir.

Aux dires des autorités russes, deux civils sont morts et un enfant de 11 ans a été blessé. Ces faits se sont déroulés dans le village de Lioubetchané  dans la région de Briansk. Cette région à quelques mètres de la frontière ukrainienne.

Toujours dans cette même allocution télévisée, le président Vladimir Poutine n’a pas hésité à parler d’une attaque perpétré par des “néonazis” et des “terroristes” qui n’ont pas hésité à “ouvrir le feu sur des civils”. Une honte à-t-il martelé.

“Nous ne nous laisserons pas faire”, c’est-il emporté

Autre son de “cloche” de la présidence ukrainienne qui y voit une “provocation délibérée”

Sans tarder et réagissant au propos de Vladimir Poutine, la présidence ukrainienne a démenti ces allégations. Toujours selon eux il est question d’une “provocation délibérée” qui cherche à justifier l’offensive Russe en Ukraine voilà maintenant un an

Il est que depuis le début du conflit, il a été relevé dans plusieurs régions russes des bombardements. Des incursions de “saboteurs” existe également, mais elles se font rares.

Cependant, selon Moscou, depuis quelques temps les incursions de drones ukrainiens sur le territoire russe et en Crimée, sont de plus en plus fréquentes. L’armée russe a même reconnu qu’un de ces types d’engins c’est écrasé, pour la première fois et c’est à noter, dans la proche banlieue de Moscou.