Découverte du corps d’Iris C. dans un cours d’eau à Lanester (Morbihan) samedi matin
Le procureur de la République de Lorient, Stéphane Kellenberger, a publié un communiqué de presse ce mardi matin, confirmant de manière indéniable que le décès d’Iris C. est le résultat d’un acte criminel. Le corps de cette jeune femme de 23 ans a été retrouvé dans les eaux du Blavet à Lanester (Morbihan) par un couple de promeneurs samedi matin.
Les résultats de l’autopsie révèlent que la victime présente des lésions traumatiques et des hématomes au niveau de la tête, du visage et des bras. En outre, des traces de strangulation ont été découvertes, bien qu’il soit encore impossible de déterminer si elle a été étranglée ou noyée, selon les précisions du procureur de la République de Lorient. Des analyses supplémentaires seront menées dans les prochains jours afin d’établir si la jeune femme a été droguée ou victime d’agression sexuelle avant son décès.
Des analyses complémentaires en attente concernant le meurtre d’Iris C.
Le corps d’Iris C., une jeune femme de 23 ans originaire de la région de Lorient, a été retrouvé samedi matin dans un cours d’eau à Lanester (Morbihan). Alors que l’autopsie a confirmé l’origine criminelle de son décès, de nouveaux détails ont émergé.
Le procureur de la République de Lorient, Stéphane Kellenberger, a annoncé l’ouverture d’une enquête criminelle en flagrance contre X pour homicide volontaire. Les investigations ont été confiées à la police judiciaire de Rennes. Il a également été révélé que la victime était totalement inconnue des services de justice jusqu’à présent, selon les déclarations du procureur.
La jeune femme a passé la soirée de vendredi à faire la fête à Lorient. Suite à ces événements, un homme d’une trentaine d’années, considéré comme un proche de l’entourage familial d’Iris C., avait été placé en garde à vue. Cependant, il a été relâché sans poursuites engagées quelques heures plus tard.
En attendant, des analyses complémentaires sont prévues dans le cadre de cette affaire. Elles visent à déterminer notamment si la victime a été droguée ou victime d’agression sexuelle avant son décès.
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