C’est en déplacement à Roissy, que le ministre de la santé François Braun à confirmé les mesures de prévention auxquelles les voyageurs venant de Chine devront se soumettre dès le 1er janvier.
A titre préventif et confirment les mesures prisent par le gouvernement, les passagers en provenance de Chine devront présenter un test COVID négatif. De même que chaque passager pourra être contrôlé de façon aléatoire.
Alors que les cas explosent en chine, le ministre de la santé François Braun c’est voulu rassurant, confirmant ainsi que les mesures préventives sont de nature à prévenir l’émergence d’un nouveau variant. C’est dans le hall de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle que le ministre c’est exprimé en ces termes. Ajoutant que les cas COVID en Chine sont en forte hausse et qu’il est préférable de se prémunir contre tous risques de propagation.
S’adressant aux journalistes sur place le ministre François Braun à confirmé : « Il faut éviter l’émergence possible d’un nouveau variant venu de Chine ».
Les tests s’adresse à toutes les voyageurs et autres personnels navigants venant de Chine. Il s’agit des personnes de plus de onze ans qui doivent avoir en leur possession un test négatif de moins de quarante huit heures. des testes PCR seront réalisés de façon aléatoire à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulles. Il est à noter également que les voyageurs de moins de six ans sont également invité à porter un masque dans l’avion.
Les tests aléatoires devraient représentés un tiers des voyageurs en provenance de Chine
Environ une quinzaine de personnes ont été ce matin depuis l’instauration des tests à précisé le ministre de des transports Clément Beaune. Ces tests on été réalisés de façon aléatoire.
Le ministre de la santé à affirmé : « on va tester le plus possible ». Nous visons des tests pour un tiers des passagers venant de Chine.
« Ce n’est pas moins de 3000 passagers par semaine qui arrivent de Chine, dont une partie est seulement en transit », a indiqué le ministre des Transports Clément Beaune.
Alors nous devons être vigilant si nous voulons « préserver notre territoire ». Ce qui resurgit, c’est la crainte de voire apparaître un nouveau variant. En cas de prélèvements positifs, ils devront faire l’objet d’un séquençage systématique. Le seul objectif avoué et l’unique priorité est de détecter d’éventuels nouveaux variants, d’autant que la Chine vient de mettre fin à sa politique zéro COVID. Hors comme le manque de communication de la part de la Chine est avéré, les occidentaux souhaitent prendre des mesures en conséquence.
Il faut comprendre que d’un seul tenant 1.4 milliard de personnes se trouvent d’un coup exposées au SARS-CoV-2. Ce qui, par définition, crée une surexposition à l’émergence de nouveaux variants qui peuvent en plus devenir plus résistant.
Mais certains experts lancent déjà l’interrogation sur la pertinence de telles mesures. Devrons-nous nous contenter du : « c’est mieux que rien » laissent-ils entendre. Hors la Chine ne dispose pas à ce jour d’immunité collective et il bon de rappeler que cette dernière est l’un des principaux déclencheurs de l’évolution virale. C’est par ailleurs le cas avec le variant BF.7, « originaire de Chine » et détecté dans plusieurs pays d’Europe dont la France.
Malgré les consultations, aucune réponse collective n’a été enregistré de par l’Europe
C’est le constat fait par le ministre de la Santé. Hors « il est important de poursuivre les consultations qui permettrons de mettre en place un processus commun et le plus coordonné possible ». Et d’ajouter que le plus vite sera le mieux.
Dans l’immédiat seule la France, l’Espagne, l’Italie impose des tests aux voyageurs venant de Chine. Et en dehors de l’Europe, la Grande-Bretagne et Israël ce sont quant à eux positionnés de la même manière en imposant des tests. C’est déjà presque acté, les États-Unis, le Canada, l’Inde et le japon vont sans doute prendre des mesures similaires dans les jours à venir. Il ne faut donc pas laisser circuler librement d’éventuels virus.