Le Direct H24 du samedi 1er juillet :
La RATP informe que les services de transport en commun seront interrompus en Île-de-France à partir de 21h.
La RATP rappelle que les bus et tramways d'Île-de-France cesseront de circuler à partir de 21h ce soir, conformément à une décision prise en concertation avec la préfecture de police.
Cette mesure vise à assurer la sécurité des agents et des voyageurs. Elle sera maintenue chaque soir jusqu'à nouvel ordre, selon les indications communiquées par la régie des transports vendredi.
La municipalité de Saint-Étienne a mis en place un couvre-feu spécifiquement pour les mineurs.
Ce samedi, la municipalité de Saint-Étienne a émis un arrêté instaurant un couvre-feu spécifique pour les mineurs non accompagnés. Cette mesure entrera en vigueur à partir de ce soir à 19h et se terminera dimanche à 6h.
Le maire de la ville, Gaël Perdriau, a lancé un appel à l'État pour qu'il garantisse le respect de l'ordre en utilisant "tous les moyens nécessaires".
En raison de la situation intérieure actuelle, Emmanuel Macron a décidé de reporter sa visite en Allemagne.
La visite d'État en Allemagne du président de la République, Emmanuel Macron, qui était initialement prévue du dimanche au mardi, sera reportée en raison de l'actualité.
L'Élysée a déclaré : "Compte tenu de la situation intérieure, le Président de la République a indiqué qu'il souhaitait pouvoir rester en France ces prochains jours. Les deux présidents sont donc convenus de reporter la visite en Allemagne à une date ultérieure."
Ce soir, l'unité spécialisée CRS 8 sera déployée à Lyon.
Le ministère de l'Intérieur a officiellement déclaré l'envoi de l'unité CRS 8 à Lyon ce soir. Cette décision fait suite à la demande de renforts formulée précédemment par le maire Grégory Doucet.
La CRS 8, une unité d'élite constituée de soixante policiers spécialisés dans la gestion des violences urbaines, répondra ainsi directement à la situation en cours.
La municipalité de Strasbourg a demandé aux commerçants de fermer leurs boutiques plus tôt et a suspendu les services de transports en commun dans la ville
La municipalité de Strasbourg et la préfecture du Bas-Rhin ont recommandé aux commerçants de la ville de fermer leurs magasins samedi après-midi, bien que cette recommandation ne soit pas contraignante.
En outre, la préfecture a annoncé la prolongation de l'interdiction d'achat et de transport d'artifices, ainsi que la suspension des services de transports en commun à partir de 13 heures ce samedi.
Les funérailles de Nahel commencent dans une atmosphère "très tendue"
Les funérailles de Nahel ont débuté ce samedi vers midi. Les journalistes de l'AFP présents sur les lieux rapportent une atmosphère "très tendue".
Une cérémonie funèbre est programmée en début d'après-midi à la mosquée Ibn Badis de Nanterre. Par la suite, l'inhumation aura lieu au cimetière du Mont Valérien.
À Paris, 406 personnes ont été arrêtées et plusieurs policiers ainsi que des pompiers ont été blessés
La Préfecture de police de Paris a récemment publié le bilan des émeutes survenues dans la région parisienne hier soir. Au total, 406 personnes ont été interpellées, sur les 1311 recensées dans toute la France.
L'organisme a également signalé que 16 bâtiments publics ont été endommagés lors des incidents. De plus, 7 policiers et pompiers ont été blessés alors qu'ils exerçaient leurs fonctions.
Le Yardland Festival est contraint d'annuler sa première édition
La préfecture du Val-de-Marne a annoncé l'annulation de la première édition du Yardland Festival, qui devait avoir lieu ce week-end au Parc de Choisy. Les organisateurs ont confirmé cette décision dans un communiqué, exprimant leur conviction quant au message de paix véhiculé par l'événement et la nécessité de se rassembler et de partager. Malheureusement, ils n'ont d'autre choix que de respecter cette décision.
Il est à noter que 33 000 personnes avaient acheté des billets pour cette première édition.
Ce samedi matin, une nouvelle réunion de la cellule interministérielle de crise a été organisée pour faire face à la situation actuelle.
Ce samedi matin, le gouvernement a organisé une nouvelle réunion de la cellule interministérielle de crise (CIC) dans le but de faire un bilan après une quatrième nuit de violences urbaines, a déclaré Matignon.
Sous la présidence d'Aurélien Rousseau, directeur de cabinet de la Première ministre, la réunion s'est tenue au ministère de l'Intérieur depuis 11h00. Elle revêt un caractère très opérationnel, avec la participation de tous les services et cabinets ministériels concernés. Aucun ministre n'est présent lors de cette troisième réunion de la CIC.
Des affrontements ont éclaté durant la nuit à Angers, tandis que l'on observe une tendance à la diminution des violences dans l'Ouest.
Des incidents et des affrontements ont éclaté dans la nuit de vendredi à samedi à Angers, tandis que dans l'ensemble de l'Ouest, les échauffourées étaient en baisse, selon les premiers rapports des mairies et des préfectures.
"La soirée du 30 juin et la nuit ont été marquées par de nombreux actes de vandalisme à Angers, notamment dans les quartiers de la Roseraie et de Monplaisir", a déclaré Jean-Marc Verchère, maire d'Angers, dans un communiqué, faisant état de dommages causés à des installations publiques. La préfecture du Maine-et-Loire n'a pas encore communiqué de bilan pour la nuit.
Dans la Sarthe, on compte 38 interpellations et 34 personnes placées en garde à vue, selon un rapport de la préfecture.
Ce samedi, 17 personnes ont été déférées à Lyon.
Ce samedi, le parquet de Lyon a annoncé que 17 individus allaient être déférés suite aux violences survenues dans la nuit de jeudi à vendredi. Les comparutions immédiates auront lieu en début de semaine prochaine, permettant ainsi une prise de décision rapide.
Parmi ces personnes, huit majeurs seront déférés en vue d'une comparution immédiate, et il est demandé leur placement en détention provisoire avec des réquisitions de mandat de dépôt. Un autre majeur sera déféré en vue d'une composition pénale, une procédure alternative pour traiter l'affaire liée à des tags. Pour les quatre mineurs impliqués, ils seront déférés en vue d'une mesure de réparation pénale, qui vise à responsabiliser les jeunes délinquants tout en les orientant vers une réparation du préjudice causé. Enfin, quatre autres mineurs seront déférés devant le tribunal pour enfants pour des poursuites pénales appropriées à leur situation.
Ces mesures visent à garantir une réponse judiciaire adéquate en fonction de la gravité des actes commis et du statut juridique des personnes impliquées.
La nuit de vendredi à samedi a été marquée par plus de 1300 interpellations, selon les informations disponibles.
Le nombre d'interpellations réalisées dans la nuit de vendredi à samedi a été réévalué à la hausse. Au total, les forces de l'ordre ont effectué 1311 interpellations, dont 406 à Paris et en banlieue proche.
Parmi ces interpellations, 752 ont été réalisées en zone de compétence de la police et 153 en zone de compétence de la gendarmerie.
Le président de l'Union pour les entreprises des Bouches-du-Rhône exprime sa préoccupation et appelle à une action ferme en déclarant : "Il est temps de dire stop". Il demande l'instauration d'un couvre-feu à partir de 20 heures à Marseille. Cette mesure vise à renforcer la sécurité et à endiguer la propagation des incidents qui perturbent la vie quotidienne de la ville.
Après une nuit marquée par des actes de pillage de commerces à Marseille, Philippe Korcia, président de l'Union pour les entreprises des Bouches-du-Rhône, exprime son inquiétude en décrivant la situation comme une "guerre civile".
Il condamne fermement les agissements, déclarant : "Des groupes de personnes violentes ont envahi le centre-ville de Marseille". Il insiste sur la nécessité de mettre un terme à ces violences en demandant la mise en place d'un couvre-feu à partir de 20 heures, ainsi que la suspension des transports en commun à partir de 18 heures.
Philippe Korcia exhorte également l'État à assumer la responsabilité totale des biens pillés, déclarant : "Si nous ne voulons pas que les commerçants se défendent par leurs propres moyens, il est impératif de trouver une solution". Il demande ainsi une intervention de l'État pour compenser les pertes subies par les commerçants.
Il met en avant l'importance de trouver des mesures concrètes pour rétablir la sécurité et protéger les entreprises locales face à ces actes de violence.
Une enquête a été ouverte pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique suite aux blessures infligées à des policiers à Vaulx-en-Velin.
Dans la nuit à Vaulx-en-Velin, quatre policiers ont été blessés par arme à grenailles. Suite à cet incident, une enquête a été ouverte par le parquet de Lyon pour les chefs d'accusation de "violences volontaires avec arme sur des personnes dépositaires de l'autorité publique" et de "participation à un groupement en vue de commettre des violences". L'enquête a été confiée à la direction centrale de la police judiciaire de Lyon.
Après les émeutes survenues à Paris, un total de 103 individus ont été placés en garde à vue par les autorités.
Le parquet de Paris a annoncé que 103 personnes ont été placées en garde à vue à la suite des émeutes survenues dans la nuit de vendredi à samedi.
Plusieurs établissements ont été la cible d'actes criminels en Lorraine, notamment des restaurants McDonald's et une médiathèque qui ont été incendiés.
Dans la nuit de vendredi à samedi, plusieurs actes de violence ont été perpétrés en Moselle et en Alsace, impliquant l'incendie de restaurants McDonald's, d'une médiathèque et de véhicules. Ces incidents ont entraîné une série d'interpellations, avec plusieurs dizaines de personnes appréhendées par les autorités.
Le maire de Metz, François Grosdidier, anciennement membre de Les Républicains, a souligné la "totale infériorité numérique" des forces de l'ordre face à un grand nombre de délinquants disséminés dans la région. Dans les deux départements alsaciens du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, les forces de l'ordre ont procédé à 40 interpellations, et 61 véhicules ont été incendiés, selon une source policière citée par l'AFP. Cinq agents des forces de l'ordre ont été blessés au cours de ces événements.
Depuis vendredi soir à Lyon, 74 individus ont été interpellés, tandis que 35 membres des forces de l'ordre ont été blessés.
Depuis vendredi soir à Lyon, 74 individus ont été interpellés, dont 58 durant la nuit, pour des délits tels que les tirs de mortier, la participation à un attroupement, les tentatives de vol, les pillages, les recels, la détention de mortier, la rébellion, l'outrage et les incendies.
En marge de ces émeutes, 35 membres des forces de l'ordre ont été blessés, comprenant 27 policiers et 8 gendarmes.
La préfecture a également constaté des dégradations perpétrées contre des bâtiments publics et des commerces.
À Vaulx-en-Velin, trois policiers ont été blessés par des tirs provenant d'armes longues à grenaille.
Dans la nuit de vendredi à samedi à Vaulx-en-Velin (Rhône), trois policiers ont été blessés par des tirs provenant d'armes longues à grenaille, selon des sources policières relayées par H24.
Les policiers ont été touchés au nez, à la cuisse, aux pieds et aux jambes. Les tireurs étaient à scooter lors de l'incident.
La préfète et le directeur départemental de la sécurité publique se sont enquis de l'état de santé des trois blessés et leur ont témoigné leur soutien.
"Je n'ai jamais vu Marseille dans un tel état", s'exclament les Marseillais en découvrant les dégâts après une nuit marquée par les émeutes
Suite à une nuit agitée, les Marseillais constatent ce samedi matin les dégâts causés par les émeutes. Plusieurs commerces du centre-ville ont été pillés.
Le bilan fait état de 95 personnes interpellées à Marseille, tandis que 31 policiers ont été blessés, pour la plupart légèrement.
À Paris et dans la proche banlieue, un total de 406 personnes ont été interpellées.
D'après une source policière citée par l'AFP, un nombre de 406 personnes ont été interpellées à Paris et dans la proche banlieue.
Plus tôt, le ministère de l'Intérieur avait communiqué que, dans l'ensemble du territoire, 994 individus avaient été interpellés au cours de la nuit de vendredi à samedi, en relation avec les émeutes.
15h : Bruno Le Maire tiendra une réunion avec les représentants des commerçants
Face aux dégradations et pillages subis par de nombreux commerces lors des récentes nuits d'émeutes, Bruno Le Maire et Olivia Grégoire se réuniront ce samedi à 15h avec les représentants des commerçants, restaurateurs, hôteliers, assureurs et banques. L'objectif de cette rencontre est de faire un bilan de la situation et d'examiner les conséquences de ces événements.
Alpes-Maritimes : 16 individus ont été appréhendés, tandis qu'une personne a été légèrement blessée.
Dans la nuit de vendredi à samedi, dans les Alpes-Maritimes, les autorités ont procédé à l'interpellation de 16 individus, selon les informations communiquées par le préfet du département à H24.
Parallèlement, des actes de vandalisme ont été signalés, avec un véhicule léger incendié à Cannes, ainsi que huit conteneurs en feu à Nice, Grasse et Cannes. Le préfet a également fait état d'une personne légèrement blessée à Grasse. Les autorités restent mobilisées pour rétablir l'ordre et assurer la sécurité des habitants face à ces actes de violence.
Marseille : Le secrétaire départemental d'Alliance Police a décrit des "scènes de guérilla" dans la ville.
Après une nuit marquée par des émeutes à Marseille, le secrétaire départemental du syndicat Alliance Police des Bouches-du-Rhône a décrit chez nos confrères de BFMTV des "scènes de guérilla".
"Le bilan de la nuit se résume en un seul mot : apocalyptique. Nous avons été témoins de scènes de guérilla dans le centre de Marseille, et les quartiers nord ont également été touchés par des pillages, des incendies de véhicules et de poubelles", déplore Rudy Manna.
Il souligne que les fonctionnaires de police se trouvent dans un "état d'épuisement physique et mental incroyable".
Un total de 79 policiers ont été blessés tandis que 1350 véhicules ont été incendiés.
D'après le dernier rapport du ministère de l'Intérieur, les émeutes de la nuit ont entraîné 79 blessures parmi les policiers.
En ce qui concerne les dégâts matériels, le bilan fait état de 2560 incendies sur la voie publique, 1350 véhicules incendiés et 234 bâtiments incendiés ou endommagés.
Le rapport mentionne également que 31 commissariats, 16 postes de police municipale et 11 casernes de gendarmerie ont été visés.
Selon le ministère de l'Intérieur, un total d'au moins 994 personnes ont été interpellées au cours de la nuit.
D'après un nouveau rapport du ministère de l'Intérieur, la nuit de vendredi à samedi a vu l'interpellation de 994 individus en relation avec les émeutes déclenchées par la mort de Nahel.
À Bondy, en Seine-Saint-Denis, plusieurs magasins ont été la cible de pillages.
Dans la nuit de vendredi à samedi, des émeutes consécutives à la mort de Nahel ont éclaté à Bondy, en Seine-Saint-Denis, entraînant le pillage de plusieurs magasins.
Afin de rétablir l'ordre, le RAID est intervenu durant la nuit. Plusieurs individus ont été arrêtés suite à cette intervention.
Dans la nuit, la mairie de Persan-Beaumont, située dans le Val-d'Oise, a été ravagée par un incendie criminel.
Dans la nuit de vendredi à samedi, des émeutiers ont volontairement incendié la mairie de Persan-Beaumont, dans le Val-d'Oise.
Ce samedi matin, les pillages se poursuivent dans certains magasins de Marseille.
La nuit de vendredi à samedi a été marquée par de violentes émeutes à Marseille, accompagnées de pillages dans plusieurs magasins.
Ce matin, les commerçants constatent avec consternation que certains établissements continuent d'être pillés par des individus.
Strasbourg : 19 personnes ont été appréhendées par les autorités avec également un total de 5 blessés
Dans la nuit de vendredi à samedi, des émeutes ont également éclaté à Strasbourg. Selon une source policière, 19 personnes ont été arrêtées dans l'Eurométropole de Strasbourg.
Ces incidents ont entraîné cinq blessés, la destruction de 43 véhicules et l'incendie de 30 poubelles.
Lyon : 58 personnes ont été appréhendées par les autorités avec également un total de 12 blessés
Selon le dernier bilan de la préfecture, 58 individus ont été arrêtés en relation avec les émeutes à Lyon.
De plus, on déplore au moins 12 personnes blessées.
Marseille : 95 personnes ont été appréhendées par les autorités
Dans la nuit de vendredi à samedi, Marseille a été une fois de plus le théâtre de violences et de pillages, tant dans le centre-ville que dans les quartiers populaires, qui ont longtemps été négligés et que le président Emmanuel Macron a visités en début de semaine.
Selon les dernières informations, 95 individus ont été appréhendés en lien avec les émeutes.
Des troubles ont éclaté à nouveau en Île-de-France, mais cette fois-ci avec une intensité plus faible.
La quatrième nuit consécutive après le décès de Nahel a été marquée par des violences urbaines en Île-de-France, bien que d'une intensité moindre que la veille, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources policières, datant de 03h00 samedi.
À Nanterre (Hauts-de-Seine), neuf personnes ont été arrêtées lors d'une nuit où l'on a observé sporadiquement des tirs de mortiers d'artifice et des tentatives de construction de barricades.
Dans les Yvelines, département voisin, plusieurs départs d'incendies ont été recensés. En Seine-Saint-Denis, des magasins ont été pillés.
Funérailles de Nahel à Nanterre : pour un moment de "recueillement" et de "d'intimité".
Les funérailles de Nahel, prévues pour samedi, ont été annoncées par Patrick Jarry, maire de Nanterre, ville d'origine du jeune homme.
Les avocats de la famille de l'adolescent ont exprimé que "la journée du samedi 1er juillet sera dédiée au recueillement pour la famille de Nahel". Ils ont également souligné l'importance de préserver "l'intimité et le respect nécessaires dont les familles endeuillées ont besoin en cette période difficile".
De nouveaux incidentes en France ce vendredi
Vendredi, de nouveaux incidents ont éclaté en France, bien que la situation soit relativement plus calme que jeudi. Des individus ont lancé des projectiles sur des véhicules de police, entraînant des tirs de lacrymogènes et des actes de pillage. Les troubles, survenus après la mort de Nahel, se sont étendus sur la quatrième nuit consécutive et ont nécessité la mobilisation de 45 000 policiers et gendarmes.
Au total, plus de 471 personnes ont été interpellées dans tout le pays, dont 95 à Marseille.
Le Direct H24 du samedi 1er juillet
Cher tous
Nous vous accueillons dans cette diffusion en direct consacrée au suivi de l'actualité suite au décès tragique de Nahel, un jeune de 17 ans, tué par un policier mardi matin à Nanterre.
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