Le 28 janvier 2025, Vladimir Poutine a réaffirmé que la Russie était prête à entamer des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine, tout en rejetant une discussion directe avec Volodymyr Zelensky
Lors d’une interview à la télévision d’État, le président russe a souligné que Moscou restait ouvert aux pourparlers, mais ne percevait pas de volonté du côté ukrainien. Il a qualifié Zelensky d’”illégitime”, justifiant ainsi son refus de toute négociation avec l’actuel président ukrainien.
Poutine exclut une participation de Zelensky aux négociations
Selon Poutine, même si Zelensky souhaite participer à des négociations, il ne le ferait pas lui-même et choisirait d’autres représentants pour mener ces discussions. Il a rappelé qu’un décret de Zelensky en octobre 2022 excluait toute négociation tant que Vladimir Poutine serait au pouvoir, ce qui, selon lui, rendait toute tentative de dialogue “illégitime” dans l’état actuel des choses. Cependant, le président russe a suggéré qu’il serait possible de trouver un “moyen juridique” pour entamer des pourparlers si Kiev le souhaitait, bien qu’il n’ait pas observé de réelle volonté de la part de l’Ukraine.
La perspective de négociations ravivée par Donald Trump
Le sujet des négociations, bien que régulièrement évoqué ces derniers mois, a pris une nouvelle ampleur avec le retour au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis. L’ex-président a exprimé à plusieurs reprises son désir de mettre fin au conflit rapidement et a proposé de rencontrer Poutine “dès que possible”. Trump a également suggéré que Volodymyr Zelensky pourrait être prêt à négocier un accord pour mettre fin à la “guerre ridicule”, bien que ses intentions demeurent floues.
Le président russe a, pour sa part, affirmé que la guerre en Ukraine pourrait se terminer “dans deux mois” si l’aide militaire occidentale cessait. Il a insisté sur le fait que l’Ukraine ne tiendrait pas plus d’un mois sans les financements et les munitions nécessaires. Cette déclaration survient alors que l’Ukraine redoute une réduction de l’assistance militaire, notamment avec l’éventuel retour de Trump à la Maison Blanche.
L’Ukraine, prise entre deux feux
De son côté, l’Ukraine craint d’être poussée à négocier en position de faiblesse, notamment en raison de la pression exercée par la Russie sur ses territoires occupés. Bien que Zelensky ait longtemps rejeté l’idée de négociations directes avec Moscou, il a récemment évoqué cette possibilité, à condition d’obtenir des garanties de sécurité solides de la part des pays occidentaux.
Le Kremlin, quant à lui, pose des conditions strictes pour toute négociation, exigeant la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et la reconnaissance de l’annexion des territoires ukrainiens par la Russie. La question des négociations reste donc en suspens, sans aucune avancée concrète à ce jour.
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