Le mari de la femme retrouvée démembrée aux Buttes Chaumont est mis en examen pour meurtre sur conjoint
D’abord placé en garde en garde à vue dès jeudi, le mari d’Assia M.B. vient d’être mis en examen pour meurtre sur conjoint.
D’après nos informations, les soupçons se sont portés assez rapidement sur le mari d’Assia M.B. qui avait été retrouvé démembré aux Buttes-Chaumont dans le 19ème arrondissement de Paris. Et finalement son mari à fini par avoué avoir lui même perpétré cet acte pour le moins “barbare”.
Et c’est le placement en détention provisoire qui est requis
Alors que son audience devant le juge des libertés et de la détention aura lieu ce samedi après-midi, le parquet de Paris, en sa qualité, requiert le placement en détention provisoire. Nous venons d’apprendre, que le mari vient d’être placé en détention provisoire.
Selon son avocate que nous avons jointe par téléphone, Youcef M. est littéralement “effondré” et que, “selon elle, il n’a jamais voulu donner la mort à sa femme”. De même “qu’il ne parvenait pas à expliquer son geste à ses enfants et encore moins de leur dire qu’il était responsable du décès de leur mère”. Nous laissera-t-elle entendre.
Placé assez rapidement en garde à vue, dès jeudi, dans la procédure et l’information judiciaire ouverte par le parquet de Paris. Et le “motif” était sans équivoque possible : “assassinat, atteinte à l’intégrité d’un cadavre et recel de cadavre”.
En plein Paris et en date du 13 février, la police faisait la macabre découverte de morceaux de corps au cœur même du parc des Buttes-Chaumont. Dans ce lieu aussi symbolique qu’idyllique en plein Paris, il aura fallut quelques temps et de nombreuses recherches et d’analyses pour découvrir l’identité de la victime qui répondait au nom de Assia M.B.. Cette personne vivait à Montreuil avec son mari et ses trois enfants. Une famille sans histoire au demeurant. Ils découvrir dans le même temps qu’elle était portée disparue depuis le 31 janvier. Et commençait déjà les incohérence puisque son mari avait signalé sa disparition en date du 6 février dans un commissariat de Seine-Saint-Denis.
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