Selon un communiqué de la procureure de la République, ce jeudi, « 80 gendarmes mèneront deux nouvelles opérations de ratissage dans la zone potentielle de la disparition de Lina. »

Malgré les recherches menées aujourd’hui dans deux plans d’eau, aucune avancée significative n’a été constatée.

Au quatrième jour de la disparition, les enquêteurs continuent d’explorer toutes les pistes disponibles. D’après une source proche de l’enquête, la possibilité d’un départ volontaire de l’adolescente n’est toujours pas écartée

Parallèlement, les gendarmes portent une attention particulière à l’hypothèse d’une voiture qui aurait stationné sur le bord de la route, peut-être pour faire monter Lina, que ce soit de manière coercitive ou non, comme l’indiquent nos sources.

Les enquêteurs maintiennent également leur vigilance sur les données de téléphonie mobile et l’examen du réseau de caméras de vidéosurveillance est toujours en cours.

Les opérations de recherche menées aujourd’hui dans deux plans d’eau ont été officiellement clôturées, selon une source bien informée qui a partagé cette information avec H24 MEDIA en fin de journée

Malheureusement, ces recherches n’ont abouti à aucun résultat concluant. Les enquêteurs avaient peu de foi dans la possibilité de trouver des éléments significatifs dans l’étang. Il est maintenant évident que ces opérations étaient principalement axées sur la vérification de doutes, comme l’ont confirmé des sources concordantes.

L’enquête autorise la localisation des téléphones qui étaient connectés au moment de la disparition

L’accès aux données de trafic et de localisation téléphoniques peut être obtenu dans le cadre d’une enquête sur une disparition inquiétante, selon une source judiciaire de H24 MEDIA.

Ainsi, les enquêteurs sont en mesure de déterminer l’emplacement des téléphones mobiles qui étaient actifs au moment de la disparition de la jeune Lina samedi

La procureure de la République de Saverne a annoncé la création, à partir de 13 heures aujourd’hui, d’une cellule de soutien médico-psychologique au sein de la commune de Plaine

Cette initiative vise à « fournir le soutien nécessaire aux résidents qui sont profondément affectés par la disparition inquiétante » de la jeune fille depuis samedi.

L’association SOS France Victimes 67 coordonnera ce dispositif, permettant ainsi d’assurer un suivi à long terme des personnes concernées

La procureure de la République de Saverne a publié un nouveau communiqué ce matin, confirmant que les « investigations et recherches sont en cours de manière active » dans le but de retrouver Lina

Elle a également confirmé que des recherches sont en cours dans les « deux plans d’eau situés dans la zone où la jeune fille a potentiellement disparu », en particulier près de l’étang du Breux.

Un de ces plans d’eau a une superficie d’un hectare et une profondeur moyenne de 1,60 mètre, tandis que l’autre est plus petit, avec une superficie de 3000 m² et une profondeur de 1,60 mètre, comme l’a précisé le gérant de ces deux étangs.

Pour mener ces recherches, dix gendarmes de la compagnie fluviale de Strasbourg ont été déployés à Plaine, dont sept sont des plongeurs. Les opérations de recherche devraient se dérouler « dans l’après-midi ».

Face à l’absence d’indices découverts lors des deux précédentes battues, une nouvelle opération de ratissage sera menée aujourd’hui, selon des informations obtenues par H24 MEDIA auprès d’une source proche de l’enquête

Un contingent de 15 gendarmes sera déployé sur le terrain pour ces recherches, couvrant la zone où Lina a disparu samedi, entre son domicile à Plaine et la gare de Saint-Blaise-la-Roche.

Parallèlement, une équipe de plongeurs de la gendarmerie, en provenance de Strasbourg, sera mobilisée dès ce matin pour sonder les points d’eau.

Quatre jours après la disparition de la jeune adolescente de 15 ans, les opérations de recherche se poursuivent sur le terrain

Des plongeurs de la gendarmerie seront mobilisés dès ce mercredi pour explorer les plans d’eau aux abords de Plaine, dans le Bas-Rhin, où Lina a été portée disparue depuis samedi, selon une source proche de l’enquête a appris H24 MEDIA.

Bien que le nombre exact de plongeurs mobilisés ne soit pas encore déterminé, leur première étape devrait consister à explorer l’étang situé à proximité de la piste cyclable. Les horaires précis du début de ces opérations de recherche n’ont pas encore été communiqués.

La procureure de la République, Aline Clérot, envisage de nouvelles recherches autour des plans d’eau situés entre le domicile de Lina et la gare de Saint-Blaise-la-Roche, où elle devait prendre un train samedi matin

Concernant le téléphone de Lina, il « n’a pas été retrouvé » et a cessé d’émettre samedi à 11h22, alors qu’elle se rendait à la gare de Saint-Blaise-la-Roche. Par ailleurs, aucune activité bancaire n’a été enregistrée sur son compte depuis sa disparition.

La procureure a également indiqué qu’aucune trace sur la chaussée n’évoque un accident de la route sur le chemin entre le domicile de Lina et la gare de Saint-Blaise-la-Roche.

Malgré trois jours de recherche, les enquêteurs n’écartent « aucune piste » dans l’affaire de la disparition de Lina.

Enfin, la procureure a rapporté que deux témoins ont vu Lina sur le trajet vers la gare entre 11h15 et 11h30 samedi dernier.