Alors que la conférence à Paris à permis de lever des fonds à hauteur d’1 milliard d’euros, le Président Macron félicite les entreprises françaises qui participent déjà la reconstruction d’un pays ravagé par les bombardements. Il est question pour ces entreprises de fournir des matériaux de premières nécessités comme des rails, des ponts mais aussi une aide alimentaire avec des semences et autres engrais. Car la reconstruction passe aussi et bien entendu par un peuple fort et suffisamment alimenté

Cette aide se veut concrète car si l’hiver à pris ses marques en France, il est encore plus présent en Ukraine. D’autant que ce n’est pas moins de 50% du réseau électrique ukrainien qui est aujourd’hui endommagé privant ainsi une bonne partie de la population d’eau et d’électricité. Alors il faut agir et vite dans un contexte délicat. Avec le pragmatisme qu’on lui connaît le président Macron, œuvre en ce sens.

Le milliard va être répartie dans l’énergie, l’alimentation, la santé, le transport. Et si l’ensemble de cette somme n’est pas encore allouée, elle le sera dans les jours à venir. Dans cette guerre, tout aussi cynique que déplorable, les enquêtes se multiplient pour crimes contre l’humanité et la Russie devra répondre de ses actes à n’en pas douter face à la pression internationale. C’est ce que martèle la quasi totalité des gouvernances mondial.

Autre sujet sensible et il n’est pas des moindre, c’est bien entendu Zaporijjia qui est sous le feu de toute l’actualité et qui fait la une des journaux quasi quotidiennement. L’AIEA  (l’Agence Internationale de l’Energie Atomique) se charge d’envoyer des missions afin de sécuriser 5 des principales centrales nucléaires dont Zaporijjia qui est occupée par l’armée Russe. Quant à la France, elle n’est pas en reste puisqu’elle va fournir des pièces de rechanges afin de pérenniser ces centrales nucléaires. 

Viendra ensuite le temps de la reconstruction qui a déjà commencé par ailleurs. Et les quelques 700 entreprises françaises conviées après cette réunion, ne manqueront pas de participer à ce qui s’annonce déjà comme un chantier pharaonique. Cette reconstruction devra se faire dans l’esprit de la liberté retrouvée.