Au total, ce sont huit personnes qui ont été interpellées et placées en garde à vue suite à l’agression du petit-neveu de Brigitte Macron. Sur ces huit personnes, quatre vont être jugées et quatre autres ont été relâchées, sans aucune poursuite judiciaire.
Après seulement deux jours de l’agression du petit-neveu de Brigitte Macron quatre suspects sont encore actuellement en garde à vue. Trois hommes majeurs vont passer en comparution immédiate, et une jeune femme de 16 ans devant le juge pour enfants. Quatre autres personnes ont été relâchées sans aucune poursuite judiciaire à ce jour. Une source policière à confirmé ces “dispositions” à H24.
C’est après l’interview télévisée d’Emmanuel Macron, que le petit neveu de Brigitte Macron, Jean-Baptiste Trogneux c’est fait agressé devant sa chocolaterie par des manifestants en voulant protéger son commerce.
Agression physique et verbale avec des coups à la tête, aux jambes et sur les mains
Tout est allé très vite : les agresseurs l’ont d’abord frappé à la tête, puis aux jambes et ensuite ils lui ont écrasés les mains. Ils ont aussi injurié “le président, son épouse et notre famille”, avant de prendre la fuite quand trois voisins sont intervenus, a très bien Jean-Alexandre Trogneux, père de la victime. Assez rapidement huit personnes avaient alors été interpellées et placées en garde à vue.
Face à la violence qui “gagne du terrain”, que les débats autour de la protection élus “bat son plein”, la récente démission du maire de Saint-Brévin, le chef de l’État a rappelé qu'”aucune forme de violence ne se justifie”. “La violence verbale amène à la violence physique et la violence contre les biens conduit à la violence contre les personnes.”
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