L’origine de cette catastrophe reste encore inconnue, laissant les autorités perplexes. Les forces de police locales expriment des inquiétudes quant à la possibilité d’une éventuelle explosion secondaire, rendant la situation encore plus préoccupante
Le cœur de Johannesburg, la plus grande ville d’Afrique du Sud, a été ébranlé par une violente explosion mercredi 19 juillet dans l’après-midi, provoquant une fissure béante dans la chaussée et jetant piétons et véhicules dans les rues. Les secours ont annoncé jeudi avoir retrouvé un corps, tandis que 48 personnes ont été blessées lors de cet événement tragique.
Par mesure de sécurité, les rues touchées par l’explosion, ainsi que celles environnantes, restent fermées à la circulation et la police se trouve sur les lieux pour maintenir l’intégrité de la scène, en vue des investigations.
Initialement, les autorités avaient évoqué la possibilité d’une explosion de conduites souterraines de gaz, mais cette piste a été rapidement écartée par la compagnie sud-africaine de gaz Egoli. Des témoins ont mentionné des odeurs chimiques et des échappées de vapeur, mais l’origine exacte de l’explosion demeure inconnue, et les enquêteurs poursuivent leurs recherches pour déterminer les causes de cette catastrophe, selon les informations fournies par le Premier ministre provincial.
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