La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Dijon a requis mercredi des nouvelles analyses ADN et une évaluation de la possibilité d’expertises vocales sur les enregistrements du corbeau
La cour d’appel de Dijon a approuvé, le mercredi 20 mars, la requête des avocats des parents de Grégory, l’enfant retrouvé mort en 1984 dans la Vologne. Ces derniers demandaient de nouvelles investigations pour éclaircir les circonstances du décès de leur enfant, selon une source de H24 MEDIA proche du dossier, confirmant une information de RTL
Plus précisément, la cour a ordonné initialement des analyses ADN complémentaires, incluant des rapprochements qui n’avaient pas encore été réalisés. L’objectif est d’associer les échantillons ADN découverts sur les lieux du crime avec ceux des personnes impliquées dans l’affaire.
La chambre de l’instruction, dans sa résolution, requiert spécifiquement des comparaisons entre les ADN prélevés sur les cordelettes présentes sur le corps de l’enfant, sur son anorak, ainsi que sur son menton, et ceux retrouvés sur certains courriers du corbeau, notamment celui daté du 16 octobre 1984, jour du décès de Grégory. Ces analyses ADN seront confrontées à celles de plusieurs membres de la famille. Le corps de Grégory avait été découvert sans vie dans la rivière Vologne le 16 octobre 1984.
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